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A PENTECÔTE, C’ÉTAIT CROQUONS NATURE... 3é édition
Reviewed by Coubert
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Rating: 5
1 commentaire:
Pierre Baduel
a dit…
La soirée d’information agriculture du 26 mai
La disposition « cabaret » des tables est bien sympathique mais loin d’être fonctionnelle quand les intervenants ou consultants parlent comme à confesse et sans le moindre micro. Le gros de la soirée s’est passé à décortiquer les possibilités d’achat, d’exploitation et de revente de terrains. J’ai pu regretter que beaucoup de discussions ont été gérées par ce qu’il me semblait être des technocrates pleins d’idées et de bonne volonté mais qui ne m’ont pas donné l’impression d’être des cultivateurs ou exploitants. Et celui qui semblait en être un, avançait son argument en s’excusant de ne pas pouvoir en donner d’explication : c’est comme çà ! Souvent, j’ai ressenti qu’on levait des questions incapables d’avoir de réponse, que l’on faisait nombres de constats et restait impuissant à en tirer le moindre jus. Les interventions de timides donneurs d’ordre ou de conseil sonnaient péremptoires comme venant de Bruxelles, de membres super qualifiés, capables de sortir de superbes bourdes à un tarif défiant toute concurrence. J’ai pensé, irrévérencieux que je suis, mainte fois aux échafaudages de Perrette avec son pot au lait ! J’avoue que j’étais venu pour entendre un peu la différence entre la culture industrielle, la raisonnée et la biologique. Le pourquoi et le comment. Rien, ou presque rien, deux mots ! C’était une soirée pour les cultivateurs, pour les exploitants, surtout pour leur paperasse ; où étaient-ils donc ? Ils étaient ailleurs, ne se sentant peut être pas concernés. Qu’on leur donne leur subvention et qu’on n’en parle plus !
Moi, Pierre Baduel, petit consommateur, ne voyant, par manque d’information, que par le petit bout de ma lorgnette, je peux dire que je me suis trompé de réunion.
1 commentaire:
La soirée d’information agriculture du 26 mai
La disposition « cabaret » des tables est bien sympathique mais loin d’être fonctionnelle quand les intervenants ou consultants parlent comme à confesse et sans le moindre micro.
Le gros de la soirée s’est passé à décortiquer les possibilités d’achat, d’exploitation et de revente de terrains. J’ai pu regretter que beaucoup de discussions ont été gérées par ce qu’il me semblait être des technocrates pleins d’idées et de bonne volonté mais qui ne m’ont pas donné l’impression d’être des cultivateurs ou exploitants. Et celui qui semblait en être un, avançait son argument en s’excusant de ne pas pouvoir en donner d’explication : c’est comme çà ! Souvent, j’ai ressenti qu’on levait des questions incapables d’avoir de réponse, que l’on faisait nombres de constats et restait impuissant à en tirer le moindre jus. Les interventions de timides donneurs d’ordre ou de conseil sonnaient péremptoires comme venant de Bruxelles, de membres super qualifiés, capables de sortir de superbes bourdes à un tarif défiant toute concurrence.
J’ai pensé, irrévérencieux que je suis, mainte fois aux échafaudages de Perrette avec son pot au lait !
J’avoue que j’étais venu pour entendre un peu la différence entre la culture industrielle, la raisonnée et la biologique. Le pourquoi et le comment. Rien, ou presque rien, deux mots ! C’était une soirée pour les cultivateurs, pour les exploitants, surtout pour leur paperasse ; où étaient-ils donc ? Ils étaient ailleurs, ne se sentant peut être pas concernés. Qu’on leur donne leur subvention et qu’on n’en parle plus !
Moi, Pierre Baduel, petit consommateur, ne voyant, par manque d’information, que par le petit bout de ma lorgnette, je peux dire que je me suis trompé de réunion.
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