En ces temps d'économies, les élus ont sans doute voulu réduire les frais qu'aurait occasionnée une large invitation à la population
dans cette mairie parfois appelée aussi"maison commune" ou "maison communale". Durant 14 mois, les habitants et le personnel communal avaient dû trouver leur chemin selon la progression et les aléas du chantier. Tout est à présent rentré dans l'ordre!
(Photo Capture d'écran site Dauphiné Libéré. La légende ne dit pas qui entoure le maire.)
CARTE POSTALE POUR L'"INAUGURATION DES TRAVAUX D’AMÉNAGEMENT DE LA MAIRIE"
Reviewed by Coubert
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16.12.16
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16.12.16
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3 commentaires:
Décidément, encore une inauguration en petit comité, entre amis triés sur le volé! (Ne corrigez pas !) Cela devient une maladie, qui s'avère chronique. Mais, bon sang, que se figurent les élus, l'être de Dieu ou Jupiter ? Combien de citadins ont-ils seulement eu vent, par chance, de la visite accordée du samedi matin. Je passais par là, au marché, je me suis pointé. Coup de bol.
Ont-ils eu honte des libertés gratuites et inutiles prises avec l'art déco sous prétexte de l'accessibilité moteur ?!
Ah les pauvres gens. Il est vrai qu'il est facile d'être stupide, mais quand même.
Pierre
Il y a quelques semaines, des portes ouvertes étaient organisées à notre intention. C'est pas suffisant? S'il fallait inviter toute la population à chaque inauguration, on n'en sortirait pas, et au prix des boissons, ça ferait augmenter nos impôts! Nos élus nous représentent, on les a élus pour ça, non?
Dorothée
C'est vrai, Dorothée, les portes furent entre-ouvertes pour ceux qui l'ont su, plus ou moins chanceux, comme moi. M'avez-vous lu seulement ? Que veut dire "c'est pas suffisant" ? Ce "n'est pas" ou "c'est". Sans la négation, c'est l'ambiguité !
Allez, soyons francs, quand il fallu défiler avec sa pancarte Charlie, nos élus, (vous savez, ceux pour qui l'on a voté et qui pensent à notre place), ont su faire le rappel. Plus que pour inaugurer l'avenue de Provence.
Allez, soyons francs, on peut faire une inauguration, même avec un ou des officiels, sans maous buffet, sans jus de fruit ou champagne, sans tralala, mais avec des habitants.
La discrétion, à Saint Marcel, c'est une maladresse coutumière, mais ce n'est pas une histoire d'état. Et ne nous parlez de trésorerie mise en péril ! Par pitié.
Pierre
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