L’union de tous serait une force épatante
Si elle ne rassemblait pas, contre toute attente,
L’ambition des uns, cette force battante,
La connerie des autres qui reste latente.
Des remèdes ? Vous avez les vôtres.
En tout cas une chose demeure sûre,
Vous ne guérirez pas votre blessure
En empoisonnant la plaie de l’autre.
Je constate impuissant, armé de mon ignorance,
Ces trésors faramineux engendrés de la science,
Ces merveilles nées de nos têtes pensantes,
Puits féconds à la mesure de nos ambitions,
Qu’elles prennent subrepticement la direction,
Irréversible, de notre prochaine disparition.
Allez, roulez !(à suivre)
Pierre Baduel
BREVES PENSEES POUR TEMPS DE VACANCES...EN QUELQUES QUATRAINS!
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