"pour un logement confortable l'été"
à l'ESPACE LIBERTÉ
(et non à la salle des fêtes)
(Voir l'article)
GRAINE DE COCAGNE RECRUTE2 personnes CDD en insertionvoir ce lien
La MJC annonce la clôture de la saison pour toutes ses activités vendredi 17 juin.
Elle vous donne rendez-vous en septembre.
5 commentaires:
D'abord merci, la photo est belle!
La place est vide, la cérémonie traditionnelle chassée par le virus !!!
Cette cérémonie est-elle utile? même si personnellement je suis peu "friand" de ce genre de manifestation mais ce rituel permet de passer un héritage, une histoire aux jeunes générations. Avoir 20 ans aujourd'hui ce n'est ni très festif ni propice aux lendemains qui chantent mais se poser la question de savoir quels étaient les festivités et les espérances de ceux qui avaient 20 ans en 1914/19 puis 1940/46 ainsi qu'en 1956/62 permet de relativiser les choses.
DP
Si nul ne pense à moi je cesse d'exister (Jules SUPERVIELLE) DP
Non, la place n'était pas vide !
La superbe sculpture, élaborée sans burin ni ciseau, trônait, assistant, de tout son symbole, le repos heureusement muet de nos morts ; morts qui ne sont pas les nôtres.
Je ne sais pas si les jeunes d'aujourd'hui se moquent de connaitre les festivités (et les espérances) qu'avaient les jeunes en 14, mais je sais, qu'avec celles qu'ils ont et celles que nous leur préparons, ils sont salement vernis.
Curieux les jeunes ? Demandez-leur, pour voir, s"ils ont conscience que leur sculpture, exécutée sans burin ni ciseau, représente "un couple désespéré devant la cruauté de la guerre et les affres de l'existence".
Laissons les jeunes vivre et les morts ne plus vivre. Les vieux savent qu'ils ont été jeunes, les jeunes ne sont pas certains qu'ils seront vieux.
Si nul ne pense à moi je cesse d'exister (Line Renaud, super vieille)
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