Le témoignage d'un de nos lecteurs...
Une page de la vie des saint marcelois se tourne!
La rue des Chabottes était très fréquentée ce samedi 10 décembre.
Exceptionnellement, des familles, des femmes et des hommes de
tout âge se sont rassemblés au seuil du cabinet médical, souvent des fleurs à
la main.
Gentiment, au moment de retirer sa plaque de docteur en médecine,
Brigitte Rigal avait convié ses anciens patients à venir échanger quelques
mots, à partager une boisson et quelques émotions passées. C'est que
plusieurs générations d'habitants de la commune l'ont consultée,
appréciant son diagnotic serein, ses paroles apaisantes, ses
prescriptions utiles, souvent salvatrices.
Ils n'ont plus guère d'équivalents celles et ceux qui autrefois
écoutaient les peines les plus intimes, connaissaient les joies, les
douleurs et les peurs de l'existence de chacun(e), sans se retrancher
derrière des barrières horaires ou corporatistes, à l'écoute des corps et
des âmes comme on disait autrefois.
Une page se tourne, une page des mille mercis qui se sont échangés rue des
Chabottes. Déjà une nouvelle page s'est ouverte avec l'accueil d'une
jeune médecin, "vocation" tellement recherchée à Saint-Marcel comme
ailleurs!
Bon vent, docteur!
JD
Le salut du docteur Philippe Rigal
Reviewed by Alain PANAYE
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13.12.22
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Reviewed by Alain PANAYE
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13.12.22
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2 commentaires:
Bel article en hommage au Dr RIGAL. Son ´pot de départ’ montre combien elle était attachée à sa patientéle. Respect ! Elle n’était pas notre médecin, mais j’ai toujours entendu dire du bien d’elle. Bravo pour cette façon de dire au revoir.
Chantal
Bizarre... Je ne connaissais pas ce docteur Philippe RIGAL.
Par contre, Madame RIGAL, Brigitte RIGAL, cabinet rue des Chabottes, OUI !
Après le temps nécessaire à connecter quelques neurones, il s'agit bien de Madame Brigitte PHILIPPE-RIGAL, docteur en médecine, qui a dévissé sa plaque !
Je me joins à l"auteur pour lui souhaiter une heureuse retraite et le blog ne manquera pas, je suppose, de nous présenter sa successeure.
NB : je remercie nos cousins Québécois d'avoir introduit ce terme féminisé, en concurrence avec le douteux "successeuse", l'inusité "success(e)rice", le pompeux "successeresse" ou une improbable forme d'écriture inclusive.
PR
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