Ne baissons pas trop vite les bras :
Ce n’est pas parce qu’ils sont foison
À avoir tort qu’ils ont raison.
À Berlin, sur le mur du désespoir
Écrit dans un simple élan d’espoir :
« La peur donne des ailes
La lâcheté une truelle ».
Vous m’assurez, n’est-ce pas,
Que le diable n’existe pas ?
Alors expliquez-moi, sans détour,
Qui a inventé les chagrins d’amour.
Continue, bas-toi, insiste,
Cramponne-toi puisque
Tu sais qu’on ne s’appuie que
Sur ce qui nous résiste.
Bien sûr, cela peut faire sourire
Mais il vous faut être de mon avis,
Savoir et admettre qu’il faut mourir
Au moins une fois dans sa vie.
Lavigie
Septembre 2007
PENSEES MELEES (Poème)
Reviewed by Coubert
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31.12.09
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