Article modifié le 3 octobre (travaux pour les deux groupes scolaires)
Le maire avait convié la presse à une visite de locaux du patrimoine communal, récemment en travaux. Il était accompagné de Marie-Montmagnon 1ère adjointe en charge de l'éducation et de la jeunesse, Eric Simonet adjoint chargé des bâtiments publics, Gilbert Belda adjoint chargé de la voirie et de l'espace public, Paul Despesse conseiller délégué aux sports. Était également présent Laurent Crétin Directeur des services techniques.
C'est au 1er étage de la mairie récemment restructuré que le maire nous a accueilli.
La salle de réunion Waldeck Rousseau a été supprimée pour permettre l'installation de quatre bureaux et d'une salle de convivialité. Cet étage est désormais entièrement réservé à l'administration de la mairie.
Coût des travaux : 26 000 €
Puis ce fut par une déambulation dans la ville que la visite se poursuivi.
Tout d'abord vers l'école Bouvier où le mur de clôture d'entrée bien malmené par les petites mains, a nécessité une reprise de l'enduit et de la peinture.
Ces
travaux ont été confiés à l'"Atelier des couleurs" équipe d'insertion
de l'association Parenthèse dont graine de cocagne fait partie (voir notre article du 4 décembre 2021)
Coût des travaux : 15 000 €
A ces travaux s'ajoutent ceux réalisés à l'école André Blanc (remplacement de menuiseries) pour un coût de 50 000 €.
L'immeuble "le Mirabellier" récemment achevé abrite au rez-de-chaussée l'ADMR , et un local sur rue de 100 m² acheté par la commune. Il a été aménagé en salle de réunion. Elle est accessible par la rue et par les communs de l'immeuble. Elle a une capacité d'une trentaine de places. Elle est destinée à répondre aux besoins de la municipalité mais aussi à ceux des associations.
Coût des travaux : 60 000 €
Une visite à la médiathèque nous permet d'apprendre que décidément "l'oiseau lire" n'a pas les dieux du bâtiment avec lui.
Après une façade bien "mal-traitée" à la construction, la main-courante de la rambarde métallique séparant les deux niveaux a dû être remplacée pour des raisons de sécurité. Une main-courante en bois de bel effet a été réalisée par les services techniques.
La dalle de sol s'est gravement fissurée. Une reprise délicate sur 70 m² a été réalisée.Les cahiers des charges et autres documents contractuels des marchés de construction, n'ont pas permis d'engager la responsabilité du maitre d’œuvre et des entreprises concernées.
C'est donc un coût de 8 000 € à charge de la commune.
A la MJC des travaux de réfection intérieure ont été réalisés (abaissement des faux-plafonds, peinture confiés à l'Atelier des couleurs déjà nommé), et changements de portes et fenêtres.
Coût de 17 000€.
Pour la halle des sports, un tambour d'entrée à été créé évitant les entrées d'air froid sur ce côté nord. En cours le remplacement des luminaires équipés de tube fluo par des led.
Pour mémoire, le DOJO sera construit à proximité immédiate de la halle (coût de 1 354 k€ HT) (voir notre article du 22 juillet 2023)
Sur le stade de foot des Margilières voisin c'est le passage à un éclairage par led qui est réalisé. 40% d'économie énergie sont attendus.
Le stade de rugby a été mis en conformité aux normes exigées par la règlementation pour des raisons de sécurité. Le mur en ciment, séparant le public de l'aire de jeu, a été supprimée pour être remplacée par une barrière métallique. L'emprise du terrain de jeu a dû "glisser" vers l'est, nécessitant le déplacement des poteaux.
Coût des travaux : 75 000 €
En marge à cette visite nous avons appris qu'après expertise, la charpente de l'Espace Culturel Liberté ne permettra pas de supporter les panneaux photovoltaïques dont la pose était envisagée par la municipalité.
Il nous vient une réflexion. Certains habitants auraient sans doute été très intéressés par cette visite.
Peut-être une occasion d'échange entre les habitants et leurs élus sur des réalisations qui les touchent au plus près ?
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| Mercredi à la MJC |
Patrimoine communal : Les travaux en cours
Reviewed by Alain PANAYE
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30.9.23
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30.9.23
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2 commentaires:
Merci de ces infos précieuses et intéressantes. Fissures du sol, rembarde à remplacer, décidément c'est la guignepour ce drôle d'oiseau architectural. Et l'assurance construction qui ne prend pas en charge les fissures du sol: bizarre, vous avez dit bizarre!
Pourquoi la commune a-t-elle achété une salle à cet endroit? Les quartiers excentrés auraient davantage besoin d'espaces pour se retrouver, on le voit par exemple aux élections où tous les bureaux de vote sont à touche touche. Et cet espace des mirabelliers est à quelques dizaines de mètres de la mairie, de l'école de musique, de l'espace liberté, de la salle commune prévue au bas des logements neufs de la rue des petites Eynards. Et une salle de réunion au bas d'un immeuble de logements, les voisins vont râler si ça fait du bruit le soir!
L'impossibilité de mettre du voltaïquie sur le toit de l'Espace liberté en dit long sur la capacité des responsables de l'époque de prévoir sur le moyen et lon terme. A suivre!
Le nid de l'oiseau lire semble bien dégradé pour un ouvrage qui n'a que 3 ou 4 ans. La garantie décennale a-t-elle été, dès la mise en service, victime du Covid ? S'est-elle évaporée lors d'une canicule ?
Mystère...
La garantie décennale couvre "les dommages qui rendent l’ouvrage impropre à l’usage auquel il est destiné", ici dans le gros œuvre (sol, fondations). Le Code Civil n'aurait donc pas priorité sur les documents contractuels signés par le maitre d'ouvrage (la mairie) et un contrat d'assurance minimaliste de l'entreprise concernée (qui, assurance ou pas, reste responsable des réparations) ?
"vous avez dit bizarre ? Comme c'est étrange..."
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